Les Croisades vues par les Arabes, c'est l'histoire "à l'envers". Amin Maalouf, écrivain d'origine libanaise, écrit le roman des Croisades vues à travers le regard arabe. Pour cela, il s'inspire des oeuvres des historiens arabes médiévaux dont Francesco Gabrieli a traduit des extraits dans les Chroniques arabes des Croisades. Dans ce roman historique, les princes de l'Islam (Nourredine, Saladin, Baibars...), dénigrés par les chroniqueurs occidentaux, sont présentés comme des héros. À l'inverse, les Croisés deviennent des barbares, pire encore, "les cannibales de Maara".
Comme dans son roman Léon l'Africain, Amin Maalouf propose une nouvelle image de l'Orient arabe ouverte au plus large public.
Présentation de l'éditeur:
En partant pour les croisades, ces preux chevaliers avaient bonne conscience : ils portaient leur croix sur le dos et la divine parole en Orient. L’Orient, c’était la terre promise. Ils pillèrent la terre, violèrent les femmes, massacrèrent les hommes, au nom de la chrétienté.
Ces barbares furent combattus tout ausi férocement du côté de l’islam, où se trouvait la civilisation la plus avancée, mais aussi les rivalités et « la torpeur du monde arabe ». Et Jérusalem, Damas, Beyrouth, connurent l’enfer.
les croisades vues par les arabes, c'est l'histoire "à l'envers". Amin maalouf, écrivain d'origine libanaise, écrit le roman des croisades vues à travers le regard arabe. Pour cela, il s'inspire des oeuvres des historiens arabes médiévaux dont francesco gabrieli a traduit des extraits dans les chroniques arabes des croisades. Dans ce roman historique, les princes de l'islam (nourredine, saladin, baibars...), dénigrés par les chroniqueurs occidentaux, sont présentés comme des héros. à l'inverse, les croisés deviennent des barbares, pire encore, "les cannibales de maara".
Comme dans son roman léon l'africain, amin maalouf propose une nouvelle image de l'orient arabe ouverte au plus large public.
Présentation de l'éditeur:
En partant pour les croisades, ces preux chevaliers avaient bonne conscience : Ils portaient leur croix sur le dos et la divine parole en orient. L’orient, c’était la terre promise. Ils pillèrent la terre, violèrent les femmes, massacrèrent les hommes, au nom de la chrétienté.
Ces barbares furent combattus tout ausi férocement du côté de l’islam, où se trouvait la civilisation la plus avancée, mais aussi les rivalités et « la torpeur du monde arabe ». Et jérusalem, damas, beyrouth, connurent l’enfer.
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